Depuis le début de la crise sanitaire mondiale du coronavirus, plusieurs études ont démontré que des personnes détectées positives puis traitées ont été infectées pour une deuxième fois au coronavirus.

Quelle est alors la réponse immunitaire du corps face à ce virus ? Serait-il possible de le contracter plus d’une fois ? Quelle est la durée au cours de laquelle l’organisme est immunisé ? Dans le présent article, il sera question de déterminer l’effectivité de cette probabilité et les raisons qui la sous-tendent.

Peut-on attraper plusieurs fois le Covid-19 ?

Le point sur les cas de réinfection dans le monde

Est-il possible d’être contaminé par la même source de coronavirus, une deuxième, une troisième voire une quatrième fois ? Si des questions se posent à ce sujet, c’est parce qu’il s’est présenté à un moment ou à un autre de la crise des cas similaires. Pour preuve, une étude menée par des chercheurs danois entre le 1er septembre et le 31 décembre 2020 et publiée dans la revue The Lancet montre que les patients qui ont présenté des tests positifs à deux reprises au cours de la période sont des personnes de plus de 65 ans.

Ces professionnels de la santé en sont alors arrivés à la conclusion que les personnes de plus de 65 ans bénéficient d’une immunité naturelle de l’ordre de 47 % contre une probable réinfection. Chez les moins de 65 ans, ce taux est de 83 %. Toutefois, être plus jeune ne veut pas forcément dire qu’on est plus apte à ne pas contracter une deuxième fois le virus. Un jeune homme de 19 ans a par exemple été contaminé trois fois dans les Hautes-Pyrénées.

Les pistes étudiées

Bien entendu, les patients souffrant d’une réinfection sont sujets à un suivi plus rigoureux. Pour certains chercheurs, il ne s’agirait pas d’une réinfection, mais plutôt de tests diagnostiques peu fiables.

En effet, le test consistant à effectuer un prélèvement microbiologique des voies respiratoires hautes et basses peut s’avérer négatif parce que mal fait. Soit l’échantillon prélevé chez le patient atteint est stocké à une température de détérioration du virus ou soit encore la zone prélevée n’est pas touchée par le virus.

Un test n’est considéré positif que lorsque l’échantillon prélevé sur le patient contient le virus en quantité suffisante. C’est aussi dire qu’un test négatif ne veut pas forcément dire que le virus n’est pas présent dans l’organisme de la personne prélevée. Les personnes souffrant d’allergie sont les plus susceptibles de contracter à plusieurs reprises le virus.

Des housses de grande qualité et anti-acariens comme sur le lien https://www.ephacare.fr. sont recommandés dans ces cas-là.

Combien de temps dure l’immunité ?

Plusieurs données sur la question prouvent qu’une immunité même partielle se met en place suite à un premier contact avec le virus. Ainsi, il a été prouvé par le biais d’une étude que les anticorps anti-SARS-CoV-2 résistent au virus pendant au moins 13 mois après l’infection.

Ceci réduit significativement les risques de réinfection du patient. Si vous êtes curieux et avez envie d’en savoir plus sur d’autres questions, rendez-vous sur https://www.orgamic.fr/.